12 août 2005
peut être un nouveau départ
mes lumières commencent à se troubler
les larmes se mettent à couler
j'espère une présence ou un regard
mais derrière cette porte, aucune aide, aucun phare,
je suis seule, toujours seule à assumer
et ce fichu caractère, pas foutu d'en donner...
je ne veux pas me confier, j'ai perdu les mots,
encore moins relire le dictionnaire, mais me sentir bien dans ma peau !
personne derrière la porte,
et je regarde cet entrouvert sur le couloir
non je ne veux pas mourir!
j'ai peut être envie, cette fois, de vivre ma peine !
je sens que ma mélancolie va payer
j'y crois encore! aujourd'hui je crois que tout peut encore s'arranger !
mais comme j'aime bien dire
chaque bonheur à une fin...
comme chaque poème a une fin
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