fatiguée de rester en vie
elle est presque achevée, elle veut s'écrouler par terre, elle veut mourrir, elle est peut être jalouse d'un côté d'une vie qu'elle envie, mais l'autre vie aura des problème, elle veut une vie parfaite mais elle dort, ses cheveux portés vers l'arriere par le vent avec grace, le voile noir de dentelle flotant en larges vagues étoilées de poussière de larmes, elle est là, elle dort sur le sol blanc neige, elle dort sur de la crème, elle a de la chance, et moi je la contemple en haut, je crois qu'elle est morte, les murs sont roses, du sang dilué coule des failles creusées par ses ongles...elle a besoin d'amour, mais elle ne veut pas aller bien, elle s'est épuisée de pleurer jusqu'a en mourrir noyée, je meurs...enfin j'aimerais bien, elle elle peut, mais pas moi dommage...j'aurais aimé dire adieu à mon tour, j'aime bien ce mot, il traduit un peu ce que je cherche à dire...je voudrais le prononcer, avoir le droit enfin...en fait, je veux être libre,c'est à dire ne plus avoir la pression d'avoir envie de mourrir et d'avoir des amis, des proches sur le dos...si je devais le faire, ça serait pour punir mes parents de refermer un cadre de beton sur moi, je suis opressée de partout, jveux m'enfuir, y a-t-il quelqu'un pour m'aprendre à voler??briser à jamais ces murs battis dans l'amour le plus incertain? je les déteste!!ils n'avaient pas le droit de me torturer!!pourquoi je suis en vie??ils n'avaient pas le droit, je veux pas être là, jle mérite pas, de toute facon, je veux plus vivre, ni marcher ni manger,ni crier, ni parler,ni pleurer, il faut que je massoie, saigner pour oublier,à jamais éteindre un feu, me senti vide, j'ai sommeil, je meurs, la faucheusse m'mportra, plus que quelque seconde
et puis ce n'est qu'un rêve...
je me réveille
et je pleure, j'ai chaud, trop chaud, j'ai besoin de brises fraiches, celles qu'on trouve sous une cascade...
j'ai besoin de merveille, je vois du noir, du béton et des route sans aucune utilité, les gens qui roulent dans leur automobiles, ils polluent et nous pourrissent les poumons ainsi la clope maudite, puis il roulent vers un lieu où ils s'épuisent en vain, travailler ,même, ne rima plus à rien, qu'ils arrêtent de se presser comme ça, je me sens seule et sans protection, je demande à ma bulle tant aimée de l'aide, qu'elle m'absorbe, qu'elle me fasse disparaître avec tout ce que les humains on construit, qu'on anéantisse cette grossière erreure...j'ai besoin de pureté, besoin de pleurer, de respirer, j'ai chaud, j'ai soif, j'ai sommeil et puis :
à quoi bon se plaindre si personne ne m'écoute???